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L’histoire consensuelle maintient que tous les événements concernant les patriarches bibliques se sont déroulés précisément et exclusivement sur le territoire de la Mésopotamie et de la Syrie modernes.
Il apparaît pourtant immédiatement que « en ce qui concerne l’identité des patriarches Abraham, Isaac et Jacob, on peut seulement rappeler que les informations fournies par les fouilles les plus fécondes de Syrie et de Mésopotamie sont extrêmement réduites, voire inexistantes ».
On ne peut que se demander s’il vaut vraiment la peine de chercher des traces des patriarches bibliques dans la Mésopotamie moderne.
L’archéologie, pas plus que la science historique d’une façon générale, ne peut trouver de preuves de la légende biblique d’une réduction en esclavage des Juifs en Egypte.
L’égyptologue Wilhelm Spielberg nous dit que « les récits de la Bible sur la situation déplorable d’Israël en Egypte n’ont pas plus de valeur historique que les indications rapportées par Hérodote sur l’histoire égyptienne.
De toute façon, il est clair que vouloir chercher sous quel pharaon Israël est venu en Egypte puis a quitté ce pays revient tout simplement à jongler avec des noms et des dates dépourvus de signification.
Un pays tout à fait différent aurait-il pu être décrit sous le nom d’Egypte ?
Ce livre modifiera pour toujours votre perception de l'histoire !
Et si la Rome, la Grèce et l'Egypte antiques étaient des inventions de la Renaissance ?
Et si l'Ancien Testament nous relatait des événements du Moyen Âge ? Et si Jésus Christ était né en 1053 et avait été crucifié en 1086 ?
Cela paraît incroyable ?
Seulement jusqu'à ce que vous ayez lu « L'histoire, fiction ou science ? »
du célèbre mathématicien contemporain Anatoly Fomenko.
L’histoire à la Scaliger tente de nous persuader que Thucydide est né environ en 460, ou entre 456 et 451 av. J.-C., et qu’il est mort autour de 396 av. J.-C.
C’était un aristocrate et un politicien fortuné d’Athènes.
Durant la guerre du Péloponnèse, Thucydide commanda la flotte athénienne, mais sans succès.
Ce qui lui valut d’être banni d’Athènes pour 20 ans.
Il écrivit son fameux traité durant son séjour en Thrace.
Thucydide fut amnistié peu avant la fin du conflit ; il revint à Athènes, où il ne tarda pas à décéder.
La tradition historique fait confiance à Thucydide pour les descriptions des événements militaires, estimant qu’il en a été un témoin et un participant.
Thucydide, personnellement, a écrit : « J’ai noté les événements dont j’avais été témoin aussi bien que d’après les récits d’autrui, en étudiant chaque fait avec tout le soin que permettaient les circonstances...
J’ai survécu à toute la guerre...
je l’ai comprise et je l’ai étudiée attentivement.
Les trois éclipses décrites par Thucydide sont un argument de poids prouvant que l’Histoire de la guerre du Péloponnèse de Thucydide n’a pu être écrite avant le 11e siècle de notre ère. Il est hautement improbable que ces éclipses soient le fruit de l’imagination de l’auteur, car en un tel cas il n’aurait sûrement pas été possible d’y trouver une solution astronomique correcte.
Il est également difficile de considérer les éclipses comme une partie apocryphe du texte « ancien », car elles s’intègrent incroyablement bien au déroulement de la narration.
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