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>> Test.
>>
Avec son 6 cylindres en ligne de 215 chevaux...
...la toute nouvelle IS 300 est-elle aussi silencieuse qu'on le dit?
Lexus.
>> Dans ma petite ville, on ait
été juste 4000. La coop de
Gaspard et la... Et le magasin
général. Quand j'y retourne ca
me fait assez mal. Il tombe une
bombe sur la rue principale
depuis qu'ils ont construit le
centre d'achat.
>> L'autre jour j'ai amené ma
bien-aimée pour lui montrer ou
est-ce que j'habite. Quand
j'y retourne, ca me fait assez
mal. Il bombe une bombe sur la
rue principale depuis
qu'ils ont construit le centre
d'achat. Une bonne journée, je
vais y retourner avec mon
bulldozer puis le centre
d'achat, il va passer un
mauvais par d'heure. Avant la
venue du centre d'achat sur la
grande rue c'était plus vivant
que ca. C'était noir de monde
comme ont Afrique. Quand
j'y retourne, c'est pathétique,
ca va dont bien mal sur la rue
principale depuis qu'ils ont
construit le centre d'achat.
>> Guy Bélanger.
>>
>> Dans ma petite ville, on est
plus juste 3000 puits la rue
principale est est devenu bien
tranquille. L'épicerie rit est
mal... Parti le cinéma aussi.
Et le m'hotel est démoli. Il
est tombé une bombe sur la rue
principale depuis qu'ils ont
construit le centre d'achat...
D'achat. Une bonne journée, je
vais y retourner avec mon
bulldozer. Puis le centre
d'achat il va passer un mauvais
quart d'heure. Dans ma petite
ville, on était juste 4000
puits la rue saint prie salle...
Principales s'appelaient saint
Cyrille. Quand j'y retourne ca
me fait assez mal. Il est bonté
une bombe sur la rue principale
depuis qu'ils ont construit le
centre d'achat.
>>
(Applaudissements)
Par la beauté du monde. Tu en
parles la beauté du monde.
Chaque fleur, chaque arbre
qu'on tue.
>> La beauté du monde. Ne tuons
pas le chant des oiseaux, ne
tuons pas le bleu du jour. Ne
tuons pas la beauté du monde.
Ne tuons pas la beauté du monde.
Ne tuons pas la beauté du monde.
La derniere chose... Chance de
la Terre, c'est maintenant que
le jour. Ne tuons pas la beauté
du monde, faisons de la Terre
un... Un grand jardin pour ceux
qui viendront apres nous. Apres
nous!
>>
(Applaudissements)
>>
ET CET ETE, ON Y GAGNE ENCORE PLUS!
- CET ETE, DECOUVREZ LE QUEBEC
AVEC LA NOUVELLE INSTANTANEE LOTO-VACANCES DE LOTO-QUEBEC.
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- ON GAGNE A DECOUVRIR LE QUEBEC
AVEC LOTO-VACANCES DE LOTO-QUEBEC.
>> Gens du pays, c'est votre
tour de vous laisser parler
d'amour. Gens du pays, c'est
votre tour de vous laisser
parler d'amour. Gens du pays,
c'est votre tour de vous
laisser parler d'amour. Gens du
pays, c'est votre tour de vous
laisser parler d'amour.
>>
(Applaudissements)
>>
J'ai fait de la peine a ma mie
Elle qui ne m'en a point fait
Qu'il est difficile...
Qu'il est difficile d'aimer
Qu'il est difficile
Qu'il est difficile d'aimer
Qu'il est difficile
Ils ont dit que c'était une
fille
Moi je dis que c'était la
Manikoutai
L'oeil en feuille et la dent de
coquille
Telle était la Manikoutai
Ils ont dit que c'était la Julie
Moi je dis que c'était la
Manikoutai
Ils diront qu'avec l'age on
oublie
Telle était la Manikoutai
>>
>> Tout le monde est malheureux.
Tout le monde est malheureux.
Tout le monde est malheureux
tout le temps. Tout le monde a
bien de l'argent. Tout le monde
a bien de l'argent. Tout le
monde veut de l'argent tout le
temps. L'argent pour faire
l'amour. De l'argent pour faire
l'amour tout le temps. De
l'amour pour etre heureux. Dela
pour... De l'amour pour etre
heureux tout le temps.
>>
(Applaudissements)
>>
>> J'ai mal a la Terre --. Mal
aux océans. Mal a mes arteres.
Mon ventrée n'est plus
qu'un cratere géant, béant.
J'ai mal a la Terre.
>> Quand elle est partie en
ville.
>> Quand elle est partie en
ville. Quand elle est partie en
ville gros Pierre est resté
chez nous.
>> J'ai planté un chene au bout
de mon champ. Ce fut ma semaine.
J'ai planté un chene au bout de
mon champ perdrait je ma peine,
perdre... Est-ce que je vais
perdre mon temps. L'amour et la
haine ce sont mes enfants. Et
ce sont mes chenes. L'amour et
la haine ce sont mes enfants.
Est-ce que je vais perdre ma
peine? Est-ce que je vais
perdre mon temps?
Dans la blanche cérémonie
Ou la neige au vent se marie
Dans ce pays de poudrerie
Mon pere a fait batir maison
Et je m'en vais etre fidele
A sa maniere, a son modele
La chambre d'amis sera telle
Qu'on viendra des autres saisons
Pour se batir a coté d'elle
Mon pays ce n'est pas un pays,
c'est l'hiver
Mon refrain ce n'est pas un
refrain, c'est rafale
Mon pays ce n'est pas un pays,
c'est l'hiver
Jack Monoloy aimait une blanche
Jack Monoloy était indien
Il la voyait tous les dimanches
Mais les parents n'en savaient
rien
Tous les bouleaux de la riviere
Mingan
Tous les bouleaux s'en
rappellent
La Mariouche elle était belle
Jack Monoloy était fringant
Jack, Jack, Jack, Jack disaient
les canards
Les perdrix et les sarcelles
Monoloy disait le vent
La Mariouche est pour un blanc
Pendant que les bateaux
Font l'amour et la guerre
Avec l'eau qui les broie
Pendant que les ruisseaux
Dans les secrets des bois
Deviennent des rivieres
Moi, moi, je t'aime
Moi, moi, je t'aim
Pendant que le soleil
Plus haut que les nuages
Fait ses nuits et ses jours
Pendant que ses pareils
Continuent des voyages
Chargés de leurs amours
Moi, moi, je t'aime
Moi, moi, je t'aime
Les gens de mon pays
Ce sont gens de paroles
Et gens de causerie
Qui parlent pour s'entendre
Et parlent pour parler
Il faut les écouter
C'est parfois vérité
Et c'est parfois mensonge
Mais la plupart du temps
C'est le bonheur qui dit
Comme il faudrait de temps
Pour saisir le bonheur
A travers la misere
Emmaillée au plaisir
Tant d'en rever tout haut
Que d'en parler a l'aise
Parlant de mon pays
Je vous entends parler
Et j'en ai danse aux pieds
Et musique aux oreilles
Et du loin au plus loin
De ce neigeux désert
Ou vous vous entetez
A jeter des villages
Je vous répéterai
Vos parlers et vos dires
Vos propos et parlures
Jusqu'a perdre mon nom
O voix tant écoutées
Pour qu'il ne reste plus
De moi-meme qu'un peu
De votre écho sonore
Je vous entends jaser
Sur les perrons des portes
Et de chaque coté
Des cléons des clotures
Je vous entends chanter
Dans ma demi-saison
Votre trop court été
Et mon hiver si longue
Je vous entends rever
Dans les soirs de doux temps
Il est question de vents
De vente et de gréements
De labours a finir
D'espoirs et de récolte
D'amour et du voisin
Qui veut marier sa fille
Voix noires et voix durcies
D'écorce et de cordage
Voix des pays plain-chant
Et voix des amoureux
Douces voix attendries
Des amours de village
Voix des beaux airs anciens
Dont on s'ennuie en ville
Piailleries d'écoles
Et palabres et sparages
Magasin général
Et restaurant du coin
Les ponts les quais les gares
Tous vos cris maritimes
Atteignent ma fenetre
Et m'arrachent l'oreille
Est-ce vous que j'appelle
Ou vous qui m'appelez
Langage de mon pere
Et patois dix-septieme
Vous me faites voyage
Mal et mélancolie
Vous me faites plaisir
Et sagesse et folie
Il n'est coin de la terre
Ou je ne vous entende
Il n'est coin de ma vie
A l'abri de vos bruits
Il n'est chanson de moi
Qui ne soit toute faite
Avec vos mots vos pas
Avec votre musique
Je vous entends rever
Douce comme riviere
Je vous entends claquer
Comme voile du large
Je vous entends gronder
Comme chute en montagne
Je vous entends rouler
Comme baril de poudre
Je vous entends monter
Comme grain de quatre heures
Je vous entends cogner
Comme mer en falaise
Je vous entends passer
Comme glace en débacle
Je vous entends demain
Parler de liberté
>> Parlant de liberté, demander
aux pierres, demandées au bois,
chacun est chez-soi sur la
Terre. Chacun est chez-soi sur
la Terre. Demander aux pierres,
demandées au bois, chacun est
chez-soi sur la Terre. Chacun
est chez-soi sur la Terre. Avec
nos mots, nos jeux, nos travaux
et nos danses, nos joies et nos
chagrins aussi. 400 ans de foi,
d'amour et d'espérance avec
ceux qui vivaient ici. Nos
miroirs et nos différences,
nous sommes devenus se pleut
pour et ce pays. Demander aux
pierres, demandées au bois,
chacun est chez-soi sur la
Terre. Chacun est chez-soi sur
la Terre. Il fa... Il a fallu
s'aimer et posséder son ame
pour apprendre a la partager.
Avec tous ces hommes et ces
femmes, et ces femmes... Et ces
enfants que le destin fait
voyager. Chaque jour arrivé la
flamme pour ne point devenir a
soi-meme est étranger. Demander
aux pierres, demandées au bois,
chacun est chez-soi sur la
Terre. Chacun est chez-soi sur
la Terre. Avec les mains, les
lacs, les forets, les rivieres
et la neige des infinis. Les
racines qui vont éclater
jusqu'aux pierres et du silence
font un fruit. Nous serons
gardiens de la Terre. Chacun de
nous sera-ce pleut pour et ce
pays. Demander aux pierres,
demandées au bois, chacun est
chez-soi sur la Terre. Chacun
est chez-soi sur la Terre.
Demander aux pierres, demandées
au bois, chacun est chez-soi
sur la Terre. Chacun est
chez-soi sur la Terre.
>>
(Applaudissements)
>>
>> Monsieur Gilles Vigneault.
>> Monsieur Yves lambel et
La Bottine souriante.
>> Mlle Linda Racine.
>> Monsieur Daniel Boucher.
>> Mlle l'eusse du faux.
>> Monsieur Eric Lapointe.